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Friday 7 July 2017

Buccal feed impaction and surgical correction in captive reindeer.

 2017 Jun;58(6):582-584.


Author information

1
Department of Health Management, Atlantic Veterinary College, University of Prince Edward Island, 550 University Avenue, Charlottetown, Prince Edward Island C1A 4P3 (Holliday, Doyle); Oakley Veterinary Services, Haines Junction, Yukon (Oakley); The Alaska Zoo, 4731 O'Malley Road, Anchorage, Alaska 99507, USA (Wilson).

Abstract

An 8-year-old female captive reindeer (Rangifer tarandus) (1) was presented for evaluation of bilateral protrusion of the cheeks of 1-month duration. Several members of the herd displayed similar clinical signs. Examination revealed stretching and laxity of the cheek muscles and buccal food impaction. The defect of each cheek was surgically repaired in the field under heavy sedation and local anesthesia in staged procedures; no surgical complications were encountered. The patient recovered uneventfully and long-term prognosis is good. This report describes a surgical treatment for individual animals with cheek laxity and buccal food impaction.
PMID:
 
28588329
 
PMCID:
 
PMC5432145
 [Available on 2017-12-01]
Impaction buccale alimentaire et correction chirurgicale chez un renne en captivité. Un renne femelle en captivité âgée de 8 ans (Rangifer tarandus) (1) a été présenté pour l’évaluation d’une protrusion bilatérale des joues depuis une durée de 1 mois. Plusieurs membres du troupeau manifestaient des signes cliniques semblables. L’examen a révélé de l’étirement et de la laxité des muscles de la joue et une impaction buccale alimentaire. Le défaut de chaque joue a été réparé par une chirurgie sous l’effet d’une sédation puissante et d’une anesthésie locale selon des procédures par étapes; il n’y a eu aucune complication chirurgicale. La patiente s’est bien rétablie et le pronostic à long terme est positif. Ce rapport décrit le traitement chirurgical pour des animaux individuels souffrant de laxité de la joue et d’impaction buccale alimentaire.(Traduit par Isabelle Vallières).